mardi 22 février 2011

Accident de la route - clip


Accident de la route - clip




samedi 12 février 2011

SAM UN AMI QUI VOUS VEUT DU BIEN

Une nouvelle application mobile de la Sécurité routière  

Comment empecher un ami de prendre la route alors qu'il a trop bu ?
A découvrir au plus vite
> Découvrez l'application sur le site http://www.ckisam.fr/

Télécharger l'application

Mobiliser notre énergie pour sauver des vies

Jeudi 10 février 2011, Brice HORTEFEUX, ministre de l'intérieur, de l'outre-mer, des collectivités territoriales et de l'immigration, s'est rendu à la gare de péage de Saint-Arnoult-en-Yvelines, pour présenter le plan d'action de lutte contre l'insécurité routière.

Relevant la « baisse encourageante de l'insécurité routière » enregistrée en 2010, le ministre a précisé que « le nombre de morts sur les routes en 2010 avait baissé de -6,5% à 3 994 tués ».
Il a indiqué que « nous sommes passés, pour la première fois depuis plus d'un demi-siècle, sous la barre des 4 000 morts » et que le nombre de décès sur les routes a été « quasiment divisé par 2 en seulement 9 ans alors qu'il avait fallu 30 ans, de 1972 à 2002, pour le diviser par 2,4 ». Et Brice HORTEFEUX de souligner qu'au total, depuis 2002, 23 000 vies ont été épargnées et 300 000 hospitalisations ont été évitées.
Revenant sur la tendance à la hausse observée en janvier (+21% pour le nombre de morts sur les routes, +4,1% pour le nombre d'accidents et +1,7 pour le nombre de blessés), le ministre a appelé à "ne pas surestimer, ni sous-estimer" ces résultats :
  • ne pas les surestimer, car janvier 2010 avait été un mois de mortalité routière particulièrement bas en raison des mauvaises conditions météorologiques qui avaient fortement réduit le trafic ;
  • ne pas les sous-estimer car cette tendance à la hausse s'explique aussi par le "relâchement du comportement de certains conducteurs qui mettent, par leur irresponsabilité, tous les usagers de la route en danger".
Les résultats de janvier 2011 ont agi « comme une piqûre de rappel », a indiqué le ministre, qui les voit comme une incitation à redoubler de vigilance et à renforcer la lutte contre l'insécurité routière.

vendredi 4 février 2011

Quelques Mots Pour sauver une vie !

Les pouvoirs publics se mobilisent contre les dangers de l'alcool sur la route en multipliant les recommandations de prudence et de vigilance. 
 
Ne pas conduire après avoir consommé de l'alcool, c'est l'affaire de tous !
Car l'alcool au volant tue.
 Une conscience du danger partagée par une grande majorité de personnes

1.Pourtant, si la plupart des conducteurs raisonnables ont été convaincus par les appels à la responsabilité 2, un risque demeure : la prise de conscience s'estompe sous l'emprise de fortes quantités d'alcool. Ainsi, 90 % des accidents mortels (liés à un taux d'alcoolémie illégal) sont causés par des conducteurs avec un taux d'alcoolémie supérieur à 0,8 g/l 3. Pour la moitié des accidents, il est même supérieur à 1,5 g/l.

Quelques mots peuvent suffire à sauver une vie… Ne laissons pas quelqu'un qui a bu reprendre la route Spot TV de la campagne 2009, "Le rescapé"


Faire de l'alcool au volant l'affaire de tous.
Le 20 juillet 2010, une charte nationale est signée entre le secrétariat d'État aux Transports, la Sécurité routière et les organisations professionnelles du secteur des hôtels, cafés, restaurants. Objectif : mettre à disposition des clients des éthylotests pour contrôler le taux d'alcoolémie.
Mais à un niveau d'alcoolémie élevé, les personnes perdent la capacité de comprendre qu'ils ne sont pas en état de conduire.

 QUELQUES MOTS POUR SAUVER UNE VIE, PENSEZ-Y !

Une seule solution : leur entourage doit agir. Tout le monde doit se sentir responsable devant un ami qui a trop bu en trouvant les mots adéquats pour qu'il ne reprenne pas le volant.

mercredi 2 février 2011

L'alcool au volant tue !

Certaines images peuvent choquer la sensibilité des plus jeunes
Si conduire sous l'influence de l'alcool est un délit moins répandu que l'excès de vitesse, son influence est cependant considérable sur les accidents. Quelles sont les sanctions encourues ?
Les accidents liés à l'abus d'alcool représentent un tiers des accidents mortels et l'alcool au volant est responsable directement de 40 % des décès immédiatement consécutifs aux accidents. À 0,5 g/l, le risque d'accident est multiplié par deux. Il est multiplié par 10 lorsqu'on dépasse 0,8 g/l.

0,5 g d'alcool maximum

En France, il est interdit de conduire avec plus de 0,5 g d'alcool par litre de sang. Il faut savoir qu'en moyenne, pour un homme de 70 kg, ce taux est atteint à jeun avec deux verres et demi de vin. Pour une femme de 50 kg, il suffit d'un verre et demi. Et qu'il faut entre quatre et cinq heures pour éliminer ces 0,5 g d'alcool.





Vidéos Choc ! Campagne de prévention.





Vidéos Choc ! Campagne de prévention.


La vie ne tient qu'à un fil...






mardi 1 février 2011

Avant de monter dessus, apprenez à le maîtriser !

A compter du 1er janvier 2011 tous les titulaires du permis B qui souhaitent commencer à conduire un deux-roues motorisé de 50 à 125 cm3 ou un «scooter à trois roues» de plus de 50 cm3 ont l’obligation de suivre une formation de 7 heures




Sécuriser l’usage du deux roues-motorisé est un enjeu majeur de sécurité routière : en dix ans, la mortalité concernant cette catégorie d’usagers est passée de 9 à 28 % des personnes tuées sur la route.
Cette nouvelle formation spécifique est dispensée par une école de conduite ou une association agréée. À l’issue de cet enseignement, une attestation de suivi de formation sera remise par l’école de conduite. Elle se compose de 3 phases :


• 2 heures de théorie,
• 2 heures de pratique hors circulation (« sur plateau »)
• 3 heures de pratique en circulation.


A qui s'adresse cette formation ?
Cette formation de 7 heures est mise en place pour les titulaires du permis B qui souhaitent conduire une motocyclette légère (de 50 à 125 cm³) ou un tricycle à moteur de plus de 50 cm³ et qui n’en ont pas conduit au cours de ces 5 dernières années .
Cette nouvelle formation de 7 heures n’est pas restrictive dans le temps. Elle concerne tous les titulaires du permis B souhaitant acquérir un 125 cm³ un tricycle à moteur , quelle que soit l’année d’obtention du permis.
Pour prétendre à cette formation, il faut avoir obtenu le permis B depuis au moins deux ans mais néanmoins, elle peut être suivie un mois avant la date anniversaire des 2 ans d’obtention de la catégorie B du permis de conduire.
Les titulaires du permis B ayant assuré et utilisé une motocyclette légère ou un tricycle au cours des cinq dernières années sont exemptés de cette formation.


En cas de contrôle
En cas de contrôle par les forces de l’ordre, les conducteurs de motocyclette légère ou de tricycle à moteur présenteront soit, ce certificat de formation, soit, un « relevé d’information » fourni par leur compagnie d’assurance, attestant de l’antériorité de la conduite d’un deux-roues motorisé.
Le non respect de cette réglementation sera passible d’une amende de 4ème classe (135 €).


La formation pratique et théorique de 7 heures
L’objectif de cette formation est de familiariser le futur conducteur avec ce type de véhicule. Ces sept heures de théorie et de pratique sont également une occasion unique de réfléchir au comportement et à la place que chacun occupe au milieu de la circulation. La formation met en avant l’importance de la prise de conscience des risques et la nécessité de respecter les règles. Elle insiste également sur les avantages qu’il y a à adopter une conduite apaisée, respectueuse des autres et de l’environnement.


2 heures de théorie
Sur les 7 heures de formation, 2 heures sont attribuées à un enseignement théorique. Son programme débute par une analyse des accidents les plus caractéristiques impliquant les motocyclettes légères et les tricycles à moteur. Il se prolonge avec des conseils qui permettent d’appréhender les pièges de la route, comme la conduite sous la pluie ou de nuit.


La personne en formation apprend ainsi à se rendre détectable auprès des autres usagers. Elle est aussi sensibilisée à l’importance de s’équiper en vêtements protecteurs de qualité (casque à la bonne taille et attaché, gants, pantalon, blouson avec dorsale et chaussures montantes). Elle apprend également à se méfier des risques concernant l’adhérence. Cela va de l’attention à une flaque de gasoil au passage d’un ralentisseur, en passant par la présence de gravillons, de peintures au sol ou de plaques métalliques. Enfin, cet enseignement théorique aborde les conséquences physiques et physiologiques des chocs sur les aménagements de la route, y compris à petite vitesse.


2 heures de pratique hors circulation (« sur plateau »)
Ces 120 minutes sont consacrées à la prise en main du
véhicule et aux vérifications indispensables : huile, pression et usure des pneumatiques, poignée de gaz, système de freinage... La personne en formation apprend à démarrer en toute sécurité, à bien positionner son corps pour assurer un meilleur équilibre grâce à une juste répartition du poids, à monter et à descendre les vitesses, à anticiper les manœuvres de freinage et d’évitement et à s’arrêter. Le futur usager d’une motocyclette légère ou d’un tricycle à moteur est enfin sensibilisé à bien positionner son regard avant de virer ou de tourner. Il est ensuite formé à tenir l’équilibre à petite vitesse avec et sans passager, en ligne droite et en virage.


Et 3 heures de pratique en circulation
Cette dernière partie de la formation de 7 heures se fait en et hors agglomération. À l’issue des 180 minutes, le conducteur doit être capable d’adapter sa vitesse aux circonstances de la circulation, de choisir la bonne voie, de bien se placer sur la chaussée en fonction notamment des angles morts des véhicules lourds. Il devra savoir franchir une intersection, changer de direction et dépasser en toute sécurité en tenant compte du phénomène d’aspiration. Il doit enfin savoir négocier un virage en toute sécurité.


Vous pouvez télécharger le document ici